🎓 Que faire après ton diplôme d’infirmier(ère) ?
Tu viens de décrocher ton DEI (diplôme d’État d’infirmier), ou tu es en fin de formation ? Bravo à toi 👏 ! Après trois années intenses, tu peux enfin exercer ce métier exigeant, humain et passionnant.
Mais peut-être que tu te poses déjà LA question : et après ?
👉 Est-ce que tu veux :
- Te spécialiser dans un domaine technique comme l’anesthésie ou le bloc opératoire ?
- Accompagner les plus jeunes en devenant puéricultrice ?
- Développer ton autonomie avec la pratique avancée ?
- Ou encore transmettre ton savoir comme formateur en IFSI ?
Bonne nouvelle : la profession infirmière offre une multitude de voies d’évolution, pour tous les profils. Certaines spécialisations sont accessibles après quelques années d’expérience, d’autres dès la fin du diplôme. Elles permettent d’élargir ton champ de compétences, d’améliorer tes conditions de travail… et ton salaire 💰.
Dans cet article très complet, tu trouveras :
- 🩺 Les spécialisations reconnues (IADE, IBODE, IPA, puéricultrice…),
- 🚀 Les autres voies : cadre de santé, formateur, libéral, infirmier militaire…
- ✅ Des infos pratiques : durée des formations, conditions d’accès, salaires,
- 🔗 Et des liens officiels pour te renseigner en détail.
C’est parti pour un tour d’horizon des opportunités qui s’ouvrent à toi après ton DEI 💡
1. Les spécialisations infirmières reconnues
a. Infirmier anesthésiste diplômé d’État (IADE)
L’infirmier ou l’infirmière anesthésiste joue un rôle crucial dans le parcours opératoire des patients. Véritable spécialiste de l’anesthésie et de la réanimation, il/elle intervient avant, pendant et après les actes médicaux ou chirurgicaux, en binôme avec le médecin anesthésiste-réanimateur.
🎯 Missions principales
L’IADE assure :
- L’évaluation pré-anesthésique du patient et sa préparation psychologique,
- La préparation et administration des agents anesthésiques (généraux ou loco-régionaux),
- La surveillance continue du patient durant l’intervention,
- La gestion des situations d’urgences vitales en salle d’opération ou en réanimation,
- Le transfert et le suivi post-intervention en salle de réveil (SSPI).
C’est un métier à haute responsabilité, technique et très rigoureux. L’IADE doit être capable de réagir vite, d’avoir une excellente maîtrise des produits et matériels, et de garder son sang-froid même dans les situations critiques.
🎓 Accès à la formation IADE
Pour devenir IADE, tu dois répondre à ces conditions :
- Être infirmier(e) diplômé(e) d’État avec au moins 2 ans d’expérience à temps plein (hors formation initiale),
- Réussir le concours d’entrée dans un IFIADE (Institut de Formation des IADE).
📚 Durée de la formation : 2 ans (4 semestres) en alternance école / stage. Elle mène à l’obtention du diplôme d’État d’IADE (grade Master).
👉 En 2025, environ 28 écoles sont agréées en France. La sélection est exigeante : mieux vaut te préparer sérieusement au concours. Certains IFSI proposent des prépas IADE.
💰 Rémunération d’un IADE
L’IADE appartient à la catégorie A+ de la fonction publique hospitalière. Son salaire dépend de son grade, de son ancienneté et des primes (notamment de nuit, week-ends, garde).
💸 Fourchettes indicatives (brut mensuel) :
- Début de carrière : 3 000 € à 3 200 €
- Milieu de carrière : 3 800 €
- Fin de carrière : jusqu’à 4 500 € et plus, avec les astreintes, les gardes et les revalorisations.
Dans le privé ou en clinique, les salaires peuvent varier selon les conventions collectives.
📍 Où exerce un(e) IADE ?
- Bloc opératoire (chirurgie),
- Réanimation,
- Urgences vitales (SMUR, SAMU),
- Services de soins critiques (réa néonatale, obstétrique…).
Certains IADE peuvent aussi exercer des missions d’enseignement, de coordination ou d’encadrement après quelques années de pratique.
🔗 Liens utiles et sources officielles
- Fiche métier IADE – Ministère de la santé
- Arrêté du 23 juillet 2012 relatif au diplôme d’État d’IADE (Legifrance)
- Association Nationale des IADE (ANIADE)
- Programme de formation IADE – AEEIBO
b. Infirmier de bloc opératoire diplômé d’État (IBODE)
L’IBODE est un professionnel hautement qualifié spécialisé dans les soins au bloc opératoire. Son rôle est essentiel pour assurer la sécurité, l’hygiène et la qualité des interventions chirurgicales.
Il/elle travaille en étroite collaboration avec les chirurgiens, les anesthésistes, les aides-soignants et le reste de l’équipe opératoire.
🎯 Missions principales
L’infirmier(e) de bloc opératoire peut occuper trois fonctions principales au sein du bloc :
- Instrumentiste : prépare les instruments, assiste le chirurgien pendant l’opération.
- Circulant(e) : assure la logistique du bloc (approvisionnement, ouverture stérile, suivi du matériel).
- Aide opératoire : participe directement à l’acte chirurgical (suture, aspiration, etc.) sous responsabilité médicale.
Autres missions :
- Contrôle de la stérilisation,
- Préparation de la salle d’opération,
- Sécurisation du parcours opératoire du patient,
- Participation à la gestion des risques et à la traçabilité.
⚠️ Ce métier requiert une rigueur absolue, de la résistance au stress et un excellent sens de l’organisation.
🎓 Accès à la formation IBODE
Depuis 2015, la formation d’IBODE est obligatoire pour exercer à ce poste.
- Conditions : Être infirmier(e) diplômé(e) avec 2 ans d’expérience minimum,
- Concours d’entrée : dossier + épreuves écrites et orales selon les écoles.
📚 Durée : 18 mois à temps plein (3 semestres) dans un institut de formation des IBODE (IFIBODE). La formation comprend des cours théoriques et de nombreux stages en bloc opératoire.
📘 Le diplôme délivré est un Diplôme d’État de niveau Master 1 (bac+4).
💡 En 2025, la formation IBODE est gratuite dans les écoles publiques pour les agents hospitaliers. Une rémunération peut être maintenue via la FPH (congé de formation professionnelle, promotion professionnelle…).
💰 Rémunération d’un IBODE
Le salaire varie selon l’ancienneté, les gardes, et les primes spécifiques (ISS, dimanche, nuit, etc.).
💸 Salaire brut mensuel moyen :
- Débutant : 2 300 € à 2 600 €
- Expérimenté : 3 000 € à 3 500 €
- Fin de carrière : jusqu’à 3 800 € voire plus, en fonction des astreintes.
Dans le secteur privé, la rémunération dépend de la convention collective (FHP, FEHAP…).
📍 Où travaille un(e) IBODE ?
- En bloc opératoire (chirurgie générale, orthopédie, obstétrique, neurochirurgie…),
- En stérilisation centrale,
- Dans les cliniques privées ou hôpitaux publics,
- Parfois en missions humanitaires ou militaires.
Certains IBODE évoluent aussi vers des postes de cadre de santé, de référent hygiène, ou de formateur.
🔗 Liens utiles et sources officielles
- Ministère de la Santé – Fiche métier IBODE
- Arrêté du 27 avril 2022 – Programme de formation IBODE (Legifrance)
- Association des IBODE (UNAIBODE)
- CNG – Références statutaires et concours IBODE
c. Puéricultrice diplômée d’État
La puéricultrice ou le puériculteur est un(e) infirmier(ère) spécialisé(e) dans la santé des enfants, de la naissance à l’adolescence. Cette spécialisation mêle soins, prévention, accompagnement parental et suivi du développement de l’enfant.
C’est une voie toute particulière, à la croisée entre le soin et l’éducation, qui séduit de nombreux infirmier(e)s en quête de relation humaine forte et d’un métier tourné vers l’avenir.
🎯 Missions principales
Les puéricultrices ont une large palette de missions, selon leur lieu d’exercice :
- En maternité ou néonatalogie : soins aux nouveau-nés, accompagnement à l’allaitement, soutien aux jeunes parents.
- En PMI (Protection Maternelle et Infantile) : surveillance du développement, dépistage, vaccination, actions de prévention.
- En crèche ou multi-accueil : encadrement des équipes, hygiène, sécurité, projet éducatif et soins si nécessaire.
- En pédiatrie hospitalière : prise en charge d’enfants malades ou handicapés, soutien à la parentalité.
- Dans l’humanitaire : soins d’urgence, éducation à la santé, actions de vaccination et de prévention.
🧠 Le rôle de la puéricultrice est aussi éducatif et relationnel que technique.
🎓 Accès à la formation de puéricultrice
- Condition : Être titulaire du DEI (Diplôme d’État Infirmier) ou du DE de sage-femme.
- Durée : 12 mois, en institut de formation en soins de puériculture (IFSP).
- Contenu : Développement de l’enfant, pédiatrie, psychologie, parentalité, travail en réseau, santé publique…
🎓 Le diplôme délivré est un Diplôme d’État de Puéricultrice, équivalent bac+4.
📅 Admission sur concours ou sélection de dossier, selon les écoles. Certaines régions proposent des aides à la formation via la FPH ou la région.
💰 Rémunération d’une puéricultrice
Le salaire dépend du lieu d’exercice (hospitalier ou territorial) et de l’ancienneté :
💸 Salaire brut mensuel moyen :
- Début de carrière : environ 2 000 à 2 400 € brut
- Après quelques années : 2 800 à 3 500 € brut
- En crèche privée ou PMI : selon la convention collective (secteur associatif ou fonction publique territoriale).
Certaines primes peuvent s’ajouter : prime Ségur, prime de sujétion, indemnité de résidence…
📍 Où exercer ?
- Hôpitaux publics (maternité, pédiatrie, néonatalogie)
- PMI (sous l’autorité du conseil départemental)
- Crèches, haltes-garderies, établissements d’accueil collectif
- Centres médico-sociaux, instituts pour enfants en situation de handicap
- Humanitaire (ONG, missions internationales)
- En libéral (rare mais possible en coordination avec d’autres structures)
🔗 Liens utiles et sources officielles
- Fiche métier – Onisep Puéricultrice
- Arrêté du 13 août 1947 – Diplôme de puéricultrice (modifié)
- Fédération Nationale des Puéricultrices
- Portail Fonction publique hospitalière – carrière des puéricultrices
d. Infirmier en pratique avancée (IPA)
L’infirmier ou infirmière en pratique avancée (IPA) exerce à mi-chemin entre l’infirmier et le médecin généraliste. Il ou elle assure un suivi global du patient, particulièrement dans les pathologies chroniques, la prévention et la coordination des soins. C’est une fonction clinique experte, avec un haut niveau d’autonomie.
🎯 Missions de l’IPA
L’IPA peut :
- Réaliser des consultations de suivi,
- Évaluer l’état de santé d’un patient,
- Prescrire certains examens complémentaires (bilans, radios),
- Adapter un traitement prescrit (dans un cadre défini),
- Orienter vers un médecin ou un autre professionnel de santé si besoin.
📌 Il ou elle travaille en collaboration avec un médecin, selon un protocole organisationnel défini par la structure.
🩺 C’est un professionnel ressource, avec un rôle clé dans le parcours de soins coordonné.
🧠 Les domaines d’exercice reconnus
Il existe 5 domaines d’exercice officiellement reconnus (arrêté du 18 juillet 2018 modifié) :
- Pathologies chroniques stabilisées (diabète, hypertension, BPCO…)
- Oncologie et hémato-oncologie
- Maladie rénale chronique, dialyse, transplantation
- Psychiatrie et santé mentale
- Urgences (déployé plus récemment)
- Condition : minimum 3 ans d’expérience clinique en tant qu’IDE.
- Diplôme : Master universitaire de niveau 7, sur 2 ans (120 ECTS).
- Structure de formation : universités accréditées par le ministère de la Santé.
- Admission : dossier, entretien, parfois tests.
- Début : 3 000 € à 3 400 € brut
- Après 4 à 5 ans : jusqu’à 4 200 € brut
- Avec les primes : parfois 4 500 € à 4 800 € brut
- Hôpital public ou privé
- Maisons de santé pluridisciplinaires
- Centres de soins spécialisés
- Services de médecine générale
- Réseaux de soins coordonnés
- Projets territoriaux de santé
- Fiche métier IPA – Ministère de la Santé
- Arrêté du 18 juillet 2018 relatif à la formation IPA
- Ordre national des infirmiers – Dossier pratique avancée
- Décret n°2018-629 du 18 juillet 2018 relatif à l’exercice IPA
- Accès sur concours ou dossier.
- 1 an de formation en Institut de Formation des Cadres de Santé (IFCS).
- Un master (souvent M1 en sciences de l’éducation ou management) est recommandé.
- Début : ~2 800 € brut/mois
- Expérimenté : jusqu’à 4 500 € brut/mois (voire plus avec les primes)
- Être cadre de santé ou titulaire d’un Master en pédagogie, sciences de l’éducation ou ingénierie de la formation.
- Une solide expérience clinique est souvent demandée.
- Fonction publique : entre 2 500 et 3 800 € brut/mois
- Secteur privé : selon convention collective
- Justifier de 24 mois (ou 3 200 heures) d’expérience en établissement de soins sur les 6 dernières années.
- S’inscrire à l’Ordre Infirmier, déclarer son activité à l’ARS et à l’Assurance Maladie.
- Avoir un cabinet, ou rejoindre une tournée existante.
- Très variables selon la patientèle, la zone et la charge de travail.
- Moyenne : entre 3 000 et 6 000 € brut/mois, voire plus.
- Frais professionnels (véhicule, matériel, assurance…)
- Gestion administrative et comptable importante
- Être titulaire du DEI
- Réussir les concours spécifiques ou intégrer les écoles spécialisées (SSA, École des Officiers de la Gendarmerie, BSPP…)
- Aptitudes physiques obligatoires
- Base salariale + nombreuses primes (logement, opération extérieure, pénibilité…)
- Moyenne : entre 2 400 et 4 000 € brut/mois, selon grade et ancienneté
- Interventions sur le terrain, secours à la personne, soins d’urgence, soins en opérations militaires
- Encadrement d’unités, participation à des missions humanitaires ou de sécurité
- Tu aimes les techniques de pointe et le travail en équipe restreinte ? → IBODE ou IADE.
- Tu veux plus d’autonomie et prendre part à la prise en charge globale ? → IPA.
- Tu adores transmettre, expliquer, accompagner ? → Formateur ou cadre.
- Tu as un bon contact avec les enfants ? → Puéricultrice.
- Tu veux ton indépendance et gérer ton emploi du temps ? → Libéral.
- Une expérience préalable (souvent 2 ou 3 ans),
- Un concours ou une sélection sur dossier,
- Un investissement personnel et financier (temps, éloignement géographique, rythme soutenu…).
- Le contenu de la formation,
- Le volume horaire,
- Les lieux de formation disponibles.
- Les offres d’emploi sur les sites d’établissements de santé,
- Les statistiques régionales sur les besoins en soins.
- Des gardes de nuit (IADE, IBODE),
- Des déplacements (libéral),
- Des responsabilités importantes (cadre).
- Quelles spécialités t’attirent le plus et pourquoi ?
- Quel type d’environnement professionnel te motive ? (bloc, libéral, enseignement…)
- Quels sont tes freins actuels pour te spécialiser (financement, mobilité, concours…) ?
➡️ Des spécialisations supplémentaires sont envisagées dans les années à venir.
🎓 Accès à la formation IPA
💡 Certains employeurs peuvent financer tout ou partie de la formation, notamment dans la FPH (via une mise en disponibilité ou un CFP).
💰 Salaire de l’IPA
Les IPA sont classés dans une grille indiciaire spécifique dans la FPH (fonction publique hospitalière).
💸 Salaire brut mensuel moyen :
✅ Ajout de la prime Ségur (+183 € nets/mois)
✅ Certaines primes spécifiques selon les services ou les zones d’exercice
💬 Dans le secteur privé, la rémunération varie selon les conventions collectives et le poste.
📍 Où exerce l’IPA ?
🔗 Liens utiles et sources officielles
2. Autres évolutions et spécialisations possibles
En dehors des formations spécialisées diplômantes comme IADE, IBODE, puéricultrice ou IPA, d’autres voies permettent aux infirmier(e)s d’évoluer professionnellement, d’acquérir de nouvelles responsabilités ou de changer d’environnement de travail. En voici les principales.
a. Cadre de santé
Le cadre de santé est responsable de l’organisation et du bon fonctionnement d’une unité de soins, d’un service ou d’un pôle. Il encadre l’équipe paramédicale, participe à la gestion, à la coordination des soins, à l’évaluation des pratiques et à la formation.
🎓 Formation :
💰 Salaire :
🔗 Ressources :
b. Formateur en IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers)
Transmettre ses connaissances et accompagner les futur(e)s IDE dans leur parcours, voilà le cœur du métier de formateur. C’est un poste passionnant qui mêle pédagogie, expertise et accompagnement.
🎓 Formation :
💰 Salaire :
🔗 Ressources :
c. Infirmier libéral
L’infirmier libéral exerce en autonomie, principalement à domicile. Il s’agit d’une forme d’exercice indépendante très répandue en France, notamment en zones rurales ou périurbaines.
📋 Conditions :
💰 Revenus :
⚠️ Attention :
🔗 Ressources :
d. Infirmier militaire ou sapeur-pompier
Pour celles et ceux attiré(e)s par les métiers de l’action, de l’urgence ou du secours en milieu extrême, des débouchés existent dans l’armée, la sécurité civile ou les SDIS.
📋 Conditions :
💰 Salaire :
🌍 Missions :
🔗 Ressources :
Infirmier(e)s militaires – Ministère des Armées
Service de Santé des Armées (SSA)
BSPP – Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris
3. Comment choisir sa spécialisation ?
Avant de se lancer dans une spécialisation, il est essentiel de mûrir sa réflexion pour ne pas s’engager dans une voie qui ne te correspondrait pas. Voici quelques critères pour t’aider à faire le bon choix :
✅ 1. Tes affinités et centres d’intérêt
Demande-toi ce qui te passionne dans ton métier :
🧠 Conseil : repère ce que tu préfères pendant tes stages ou tes premières années de pratique.
✅ 2. Les exigences et la durée de la formation
Certaines spécialisations demandent :
Renseigne-toi en amont sur :
✅ 3. Les débouchés et perspectives
Assure-toi que ta spécialisation offre des opportunités d’emploi réelles. Certaines formations sont très demandées mais offrent peu de postes selon les régions (ex : IBODE). D’autres, comme IPA ou cadre de santé, sont en plein développement.
N’hésite pas à consulter :
✅ 4. L’équilibre vie pro / perso
Certaines spécialités impliquent :
👉 Choisis aussi selon ton mode de vie, ta famille, tes contraintes personnelles.
Pour conclure
Se spécialiser, c’est bien plus qu’un diplôme supplémentaire : c’est l’occasion de grandir en tant que professionnel(le), de s’épanouir dans une voie choisie, et de relever de nouveaux défis.
Le champ des possibles est vaste : hôpital, libéral, formation, urgence, prévention, enseignement… Chaque infirmier(ère) peut tracer son propre chemin.
Ne choisis pas sur un coup de tête : prends le temps d’explorer, de questionner, de te renseigner. Parle à des professionnel(le)s du domaine, consulte les centres de formation, et pourquoi pas, fais une immersion.
📄 Télécharge ta fiche mémo
Un récapitulatif clair et synthétique de toutes les spécialisations infirmières accessibles après le diplôme !
📥 Télécharger la fiche mémo🧠 À toi de jouer !
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