🩺 Introduction – Faire des erreurs en stage : normal… mais pas inévitable
Les stages sont une étape fondamentale de ta formation en soins infirmiers. C’est sur le terrain que tu transformes la théorie en pratique, que tu développes ton raisonnement clinique, et que tu prends peu à peu confiance en toi. C’est aussi là que tu rencontres les réalités humaines, techniques et organisationnelles du métier d’infirmier.
Mais soyons honnêtes : les stages, c’est aussi une période de doutes, de maladresses… et d’erreurs. Et c’est normal ! Personne n’attend de toi la perfection. Ce qu’on attend, c’est une capacité à apprendre, à se remettre en question, et à progresser avec humilité.
Dans cet article, je vais te partager les 10 erreurs les plus courantes commises en stage par les étudiants en IFSI (oui, même les plus motivés !). Pour chaque erreur, tu découvriras :
- 🛑 Ce qui pose problème (et pourquoi c’est fréquent),
- ✅ Des conseils pratiques pour l’éviter,
- 💬 Et parfois un exemple vécu pour illustrer.
🎯 L’objectif ? Que tu sois mieux préparé, plus serein… et que tu gagnes un temps fou dans ta progression !
Alors que tu sois en première année, en fin de parcours ou à quelques semaines de ton DE, cet article est pour toi. On y va ? 💪
1. Ne pas oser poser de questions
C’est probablement l’une des erreurs les plus fréquentes chez les étudiants en soins infirmiers, surtout lors des premiers stages. Beaucoup n’osent pas poser de questions, par peur de déranger, de paraître incompétents, ou de passer pour celui “qui ne sait pas”. Résultat : on reste dans l’ombre, on fait semblant de comprendre, et parfois, on commet des erreurs évitables.
Et pourtant… le stage est un espace d’apprentissage, pas un concours de connaissances ! Les professionnels savent que tu es là pour apprendre. Ils préfèreront toujours un étudiant qui pose une question plutôt qu’un étudiant qui prend des initiatives sans comprendre ce qu’il fait.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🗒️ Garde un petit carnet de stage où tu notes les questions qui te viennent en tête pendant la journée. Tu pourras les poser à un moment plus calme, sans interrompre les soins.
- 🤝 Adopte une posture active : “Je préfère poser la question pour être sûr de bien faire.” C’est une preuve de maturité, pas de faiblesse.
- 👂 Reste à l’écoute des explications : parfois, une question que tu te poses trouve sa réponse dans une discussion entre soignants ou une transmission.
🎯 Exemple concret : Tu vois une IDE manipuler un pousse-seringue dont tu n’as jamais utilisé le modèle. Au lieu de faire semblant de savoir : “Je n’ai pas encore manipulé celui-là, est-ce que je peux le faire avec vous ?”. Non seulement tu apprends, mais tu montres ton intérêt.
Le fait de poser des questions montre ton implication, ta vigilance et ton sérieux. C’est aussi comme ça que tu construis une relation de confiance avec l’équipe et ton tuteur de stage.
👉 Alors n’attends pas d’être en difficulté pour lever la main. Pose tes questions, même (et surtout) les plus simples. Elles sont souvent les plus importantes.
2. Manquer d’organisation
En stage, tu vas rapidement le constater : tout va très vite. Les soins s’enchaînent, les imprévus aussi, et il n’est pas rare de finir une matinée en se disant : “J’ai couru partout mais je n’ai pas eu le temps de faire tout ce que je voulais”. Ce sentiment de flou, d’urgence ou de frustration vient souvent d’un manque d’organisation… qui est pourtant évitable avec quelques bons réflexes.
Et attention : mal s’organiser, ce n’est pas seulement “perdre du temps”. Cela peut aussi générer du stress inutile, te faire oublier un soin important, ou donner l’impression que tu n’es pas impliqué. Or, l’organisation, ça s’apprend. Et c’est même une compétence attendue chez tout futur IDE.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 📋 Fais une “to-do list” en début de poste : demande au tuteur quels soins sont prévus, à quelle heure, et avec quel matériel. Note-les dans l’ordre chronologique ou par priorité.
- 🕵️ Observe comment les IDE structurent leur journée : à quel moment elles vérifient les constantes, distribuent les traitements, prennent leurs transmissions… Inspire-toi de leur méthode.
- 🧠 Anticipe les besoins : si tu sais qu’un patient a une perfusion qui se termine, prépare de quoi la relayer à l’avance. Idem pour les pansements ou les bilans à venir.
🎯 Exemple concret : Tu dois faire un pansement à 10h30. Tu prépares ton chariot dès 10h, tu vérifies que le patient a pris son antalgique si besoin, et tu te libères à l’heure prévue. Résultat : tu es efficace, ponctuel… et tu gagnes la confiance de ton tuteur.
L’organisation, c’est un combo de planification + anticipation + priorisation. Ça ne s’improvise pas, mais ça se développe très vite avec un peu de méthode… et d’expérience 😉
3. Mauvaise communication avec l’équipe soignante
La qualité de ta communication en stage est un élément central de ta posture professionnelle. Et pourtant, c’est une des erreurs les plus fréquentes : ne pas transmettre une information importante, ne pas reformuler une consigne, ou encore ne pas oser dire qu’on n’a pas compris. Résultat : des malentendus, des oublis, voire des erreurs de soins… alors qu’un simple échange aurait tout évité.
Le travail infirmier repose énormément sur la communication interprofessionnelle. Chaque membre de l’équipe a besoin d’informations fiables, claires et transmises au bon moment. En tant qu’étudiant, c’est aussi ta responsabilité de participer activement à cette dynamique.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🗣️ Sois clair et concis quand tu fais une transmission orale. Utilise des faits précis (“TA à 15/9”, “glycémie à 0,80”, “le patient a vomi à 11h”…)
- 🔁 Reformule les consignes données par ton tuteur ou un IDE : “Donc je dois préparer le G5% et faire la glycémie avant 11h, c’est bien ça ?”
- 🤝 N’aie pas peur de dire quand tu n’as pas compris. C’est bien plus professionnel que de faire semblant ou d’improviser.
🎯 Exemple concret : Une aide-soignante te dit que Mme D. est confuse depuis le matin. Tu en parles à l’IDE en disant : “Mme D. semble désorientée, elle m’a demandé 3 fois où elle était. C’est nouveau par rapport à hier selon l’AS. Est-ce que je prends ses constantes ?” → Tu montres ton sens clinique ET ton initiative.
Bonne communication = sécurité des soins + travail d’équipe fluide + intégration réussie. Tu n’as pas besoin d’en faire trop : simplement, sois rigoureux, précis… et bienveillant dans tes échanges.
4. Mauvaise gestion du stress
Tu le sais déjà : le stage, c’est intense. Nouveau service, équipe inconnue, gestes techniques, pression du regard des autres… Tout cela peut vite faire grimper ton niveau de stress. Et un stress mal géré peut impacter ta concentration, tes gestes, ta communication et même ta confiance en toi.
Le stress fait partie du métier, et il peut même être moteur dans certaines situations. Mais s’il devient paralysant ou t’empêche de fonctionner, il faut agir. Apprendre à gérer ton stress, c’est une compétence professionnelle aussi importante qu’un pansement ou une injection.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 😮💨 Respire : en cas de panique ou de surcharge, isole-toi une minute si tu le peux et pratique une respiration lente (5 secondes d’inspiration, 5 secondes d’expiration).
- 🧘♀️ Essaie la cohérence cardiaque : 5 minutes, 3 fois par jour, suffisent à réguler ton système nerveux. L’appli Respirelax est très bien pour ça.
- 🗣️ Parle-en : si tu sens que tu perds pied, confie-le à ton tuteur. Ils préfèrent un étudiant honnête à un étudiant en difficulté silencieuse.
🎯 Exemple concret : Tu dois faire ta première injection IM devant l’équipe. Tu sens la pression monter. Respire, dis-le simplement : “C’est la première fois que je le fais en situation réelle, est-ce que vous pouvez m’accompagner ?” → Tu es encadré, tu rassures l’équipe… et tu respires mieux 🧘♂️
Le stress ne disparaît jamais totalement. Mais avec le temps, tu apprendras à le connaître, à le dompter… et à en faire un allié. Et plus tu prends soin de toi en stage, plus tu progresses avec sérénité.
5. Erreurs dans l’asepsie et l’hygiène
En stage, tu vas souvent entendre la phrase : “L’hygiène, c’est la base.” Et c’est vrai. Respecter les règles d’asepsie, c’est assurer la sécurité du patient, éviter les infections nosocomiales et montrer ton professionnalisme. Pourtant, beaucoup d’étudiants font des erreurs à ce niveau-là : oublier le lavage des mains, toucher un champ stérile avec des gants contaminés, confondre antisepsie et désinfection…
Ces erreurs ne sont pas dues à de la mauvaise volonté. Elles viennent souvent d’un manque de pratique, d’automatismes non intégrés ou d’un stress qui perturbe tes gestes. Mais l’équipe y est très attentive, car une seule erreur peut avoir de lourdes conséquences pour le patient… ou pour toi.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🧼 Applique systématiquement l’hygiène des mains : avant/après chaque soin, même si tu penses “ne pas avoir touché le patient”.
- 👀 Demande à ton tuteur de t’observer lors d’un soin stérile pour te corriger en temps réel. Accepte les remarques : elles sont là pour t’aider à progresser.
- 📚 Revois les protocoles régulièrement : ils varient parfois d’un service à l’autre, mais les grands principes (champ stérile, non-retour, friction hydro-alcoolique…) sont constants.
🎯 Exemple concret : Tu dois poser un pansement stérile. Tu prépares tout, mais au moment de poser la compresse, tu réalises que ton gant a touché ta blouse. Tu hésites… Ne continue pas ! Signale-le calmement, change de gant, et recommence. C’est la bonne réaction.
L’asepsie n’est pas un détail. C’est une signature de ton sérieux. Et bonne nouvelle : c’est une compétence qui devient automatique à force d’entraînement. Prends le temps de bien faire, même si tu es lent au début. Mieux vaut lent et rigoureux que rapide et risqué.
6. Mal gérer la relation soignant-soigné
Quand on débute, il n’est pas toujours facile de trouver le bon équilibre dans la relation avec les patients. Certains étudiants restent trop en retrait, par peur de mal faire ou par gêne, et donnent l’impression d’être froids ou distants. D’autres, au contraire, s’investissent trop émotionnellement, s’attachent rapidement ou prennent à cœur chaque remarque… au point de s’épuiser moralement.
Et pourtant, la relation soignant-soigné est une composante essentielle des soins. Elle repose sur l’empathie, l’écoute, la bienveillance… mais aussi sur une juste distance professionnelle. Ce n’est pas inné, mais c’est quelque chose qui se travaille avec le temps et l’expérience.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🧠 Apprends à repérer tes propres émotions : colère, tristesse, attachement, agacement… ils sont normaux, mais doivent être identifiés pour ne pas interférer avec ta posture professionnelle.
- 🗨️ Discute avec l’équipe si une situation te touche particulièrement. Ton tuteur ou un IDE pourra t’aider à prendre du recul.
- 🧘♂️ Travaille l’écoute active (regard, reformulation, posture) sans forcément “prendre en charge” les émotions du patient à ta place.
🎯 Exemple concret : Une patiente âgée te confie qu’elle est seule et que ses enfants ne viennent jamais la voir. Tu peux lui répondre avec empathie (“C’est difficile, je comprends que vous ressentiez de la solitude”), sans t’impliquer émotionnellement (“C’est horrible, je suis désolé pour vous”). Tu respectes ainsi la juste distance relationnelle.
👉 En résumé : ni trop distant, ni trop fusionnel. Ta présence bienveillante est déjà un soin. Ce n’est pas ta douleur, mais tu peux l’accueillir sans la porter sur tes épaules.
7. Oublier de prendre en compte les particularités du patient
Chaque patient est unique. En stage, il est tentant de vouloir appliquer ce qu’on a appris “par cœur” en cours, sans toujours adapter sa prise en charge à la réalité de la personne que l’on a en face. Pourtant, prendre en compte les spécificités de chaque patient (âge, pathologie, état émotionnel, capacités cognitives, antécédents, culture…) est fondamental pour prodiguer des soins justes, efficaces… et humains.
Ignorer les particularités, c’est risquer d’être inadapté, voire maltraitant sans le vouloir : donner un comprimé entier à une personne âgée qui a des troubles de la déglutition, parler trop vite à un patient confus, oublier de prendre en compte une allergie notée dans le dossier… Ce sont des erreurs courantes, mais évitables.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🔎 Prends le temps de lire le dossier du patient : antécédents, traitements en cours, régime, autonomie, particularités culturelles… tout y est (ou presque).
- ❓ Pose des questions à l’équipe : “Ce patient est désorienté ?”, “Il a des difficultés à avaler ?”, “Il a une aide humaine ou technique pour se mobiliser ?”
- 👀 Observe comment les IDE adaptent leurs soins : changement de rythme, adaptation de la communication, accompagnement renforcé… Inspire-toi de leur posture.
🎯 Exemple concret : Tu dois administrer un traitement oral à un patient diabétique. En vérifiant son dossier, tu vois qu’il suit un régime sans sucre strict. Tu adaptes ton approche en vérifiant la compatibilité du médicament et en surveillant sa glycémie post-administration. Bravo, tu montres ton sens clinique 🧠
Être attentif aux particularités, c’est respecter la singularité de chaque personne. C’est aussi le premier pas vers une prise en charge personnalisée et bienveillante – au cœur du métier infirmier 💙
8. Ne pas anticiper les difficultés techniques
En tant qu’étudiant, tu vas devoir réaliser des gestes techniques variés : pose de perfusion, injections, pansements, sondes, prélèvements… Et il est tout à fait normal de ne pas tout maîtriser dès le départ. Le problème, ce n’est pas de manquer d’expérience. C’est de ne pas anticiper ces difficultés, de vouloir “faire à tout prix”, ou pire, de ne pas demander d’aide.
Un soin mal préparé, c’est un soin à risque. Tu ne peux pas tout contrôler, mais tu peux toujours prévoir, t’entraîner et t’entourer. L’anticipation technique, c’est une marque de professionnalisme, même (et surtout) quand on débute.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 📚 Revois le soin à l’avance dans un guide de procédures, sur une fiche mémo ou sur une plateforme pédagogique (comme Infirmiers.com ou tes supports IFSI).
- 👩🏫 Demande à le faire en binôme avec ton tuteur ou un IDE volontaire. Précise que tu souhaites être supervisé pour progresser en sécurité.
- 🧪 Entraîne-toi sur simulateur ou mannequin dès que tu en as la possibilité. Le geste sera plus fluide en situation réelle.
🎯 Exemple concret : Tu n’as jamais posé de sonde urinaire masculine. Avant de le faire, tu demandes à ton tuteur s’il peut te montrer une première fois, puis t’accompagner la fois suivante. Tu as préparé ton matériel, tu connais le protocole… tu es prêt à apprendre 👍
Personne ne te reprochera de ne pas savoir. Mais si tu fais un soin mal préparé, tu prends un risque pour le patient et pour toi. L’humilité + l’anticipation = une posture de futur pro 🔑
9. Ne pas se présenter ou mal s’intégrer dans le service
Ça paraît anodin, mais c’est une erreur fréquente et parfois mal perçue : arriver dans un service sans se présenter clairement, ou ne pas chercher à s’intégrer. Tu n’as pas besoin d’être extraverti ou de “faire le show”, mais tu dois montrer dès le départ que tu es là avec sérieux, motivation et respect pour l’équipe en place.
Tu vas passer plusieurs semaines dans un service : autant créer un climat de confiance dès le début. Une bonne intégration facilite les échanges, les apprentissages… et même l’évaluation de ton stage.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 👋 Présente-toi dès ton arrivée : prénom, école, année, et ce que tu attends du stage.
- 🤝 Intéresse-toi à l’équipe : note les prénoms, participe aux pauses (si tu es invité), dis bonjour/au revoir à tous.
- 🙏 N’oublie pas de remercier en fin de poste ou en fin de stage : une petite attention est toujours appréciée.
🎯 Exemple concret : “Bonjour, je suis André, étudiant en 2e année à l’IFSI. Je suis là pour trois semaines. J’aimerais progresser sur les pansements et les transmissions orales. Merci de m’accueillir.” → Simple, efficace, professionnel !
Une bonne intégration, c’est un levier puissant pour vivre un stage enrichissant. Tu seras plus à l’aise, plus encadré, et tu oseras davantage t’impliquer.
10. Négliger les transmissions écrites ou orales
Les transmissions, c’est bien plus qu’un résumé de la journée. C’est un outil central dans la continuité et la sécurité des soins. Et pourtant, beaucoup d’étudiants les prennent à la légère, oublient de les faire ou les rédigent sans méthode, parfois à la va-vite.
Or, une mauvaise transmission peut entraîner une erreur dans la prise en charge d’un patient. C’est aussi un des points clés que les équipes observent pour évaluer ton professionnalisme.
💡 Comment éviter cette erreur ?
- 🗒️ Prends des notes pendant ton poste : heure de soin, réaction du patient, résultats d’examens, particularités.
- 🗣️ Utilise une méthode structurée comme le DAR (Données, Actions, Résultats) ou le SOAP (Subjectif, Objectif, Analyse, Plan).
- 📚 Demande à relire les transmissions d’un IDE ou d’un autre étudiant pour t’en inspirer.
🎯 Exemple concret : “Mme L. s’est plainte de douleurs à 7/10 au bras gauche, après pose de perfusion. Mise en place de froid local et surélévation. Réévaluation 1h après : douleur à 3/10. A noter pour surveillance nocturne.”
Bien transmettre, c’est montrer que tu es observateur, rigoureux et impliqué dans la qualité des soins. C’est un vrai plus dans ta posture d’étudiant infirmier.
✅ Conclusion – Chaque erreur te rapproche du soignant que tu veux devenir
Tu viens de découvrir 10 erreurs fréquentes que rencontrent presque tous les étudiants en soins infirmiers pendant leurs stages. Et tu sais quoi ? C’est une excellente nouvelle. Car les connaître, c’est déjà avoir une longueur d’avance. Chaque difficulté, chaque maladresse est une occasion d’apprendre, de te remettre en question… et de t’améliorer.
Tu ne peux pas tout maîtriser d’un coup. Et ce n’est pas ce qu’on attend de toi. En revanche, ce qu’on espère, c’est que tu sois curieux, observateur, rigoureux et humain. Et c’est exactement ce que tu deviens quand tu prends le temps d’analyser tes erreurs, de demander des retours, de progresser un peu plus chaque jour.
🩺 Grâce à ces conseils pratiques, tu vas vivre tes stages avec plus de confiance, d’aisance et de sérénité. Tu vas aussi gagner le respect de l’équipe, et surtout… tu vas te rapprocher du professionnel de santé que tu as envie d’être 💙
📌 Les 10 erreurs les plus fréquentes à éviter :
- ❌ Ne pas poser de questions → Ose les poser, c’est un signe d’implication.
- ❌ Manquer d’organisation → Utilise des listes et anticipe les soins.
- ❌ Mal communiquer avec l’équipe → Reformule, transmets clairement, sans peur.
- ❌ Laisser le stress te submerger → Respire, demande de l’aide, détends-toi.
- ❌ Commettre des erreurs d’asepsie → Revois les protocoles, fais-toi observer.
- ❌ Mal gérer la relation patient → Trouve la juste distance relationnelle.
- ❌ Négliger les particularités du patient → Personnalise tes soins avec attention.
- ❌ Ne pas anticiper les difficultés techniques → Prépare-toi, entraîne-toi, demande un encadrement.
- ❌ Oublier de se présenter ou de s’intégrer → Fais-le dès le premier jour, crée du lien.
- ❌ Bâcler ou oublier les transmissions → Prends des notes et structure tes messages.
🎓 En évitant ces pièges classiques, tu gagnes en confiance, en rigueur et en professionnalisme 💪
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